LA CULTURE DANS LA RUPTURE, MAL APPRÉCIATION OU NÉGLIGENCE.
REWMI [8/04/2024]
Nous avons bien dit « Rupture ». Forcément, nous nous devons tous, de serrer la ceinture face aux grands défis auxquels le Sénégal fait face. Ces défis, cependant, ne sont pas seulement d’ordre économique mais ils sont aussi, et surtout, culturels. Nous avons un Premier Ministre Inspecteur des Impôts qui connait l’argent, normal, mais à mon humble avis, il reste attaché à la création artistique et au travail intellectuel. La culture doit constituer un volet essentiel de cette politique basée sur la rupture, pour montrer à suffisance que la croissance économique d’un pays doit être accompagnée par un développement culturel. Car, quand le peuple semble s’essouffler, gagné par la lassitude, dépassé par l’ampleur de ses problèmes, en perte de repères, la culture intervient pour chauffer le sang des jeunes générations, raviver leur ardeur et leur permettre d’espérer. Les acteurs culturels jouent donc un rôle très important de régulation sociale, d’où la nécessité de toujours bien les mettre dans les conditions de bien-être optimum.
Avec ce nouvel attelage gouvernemental, on ne sait à quel Ministère se fier ; au Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture ou bien au (...)
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